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15 décembre 2012 6 15 /12 /décembre /2012 09:27

 

Suite rues par Bertrand et B. Deroubaix

 

 

Cormontaigne (place) fondateur de la première manufacture au fils d'or et d'argent

C'est le nom d'un officier du génie qui parvint au grade de maréchal de camp (général de brigade). Il est l'auteur d'un traité d'architecture militaire. Il se fit connaître par les travaux qu'il entreprit pour améliorer les fortifications de Metz et de Thionville. Il fit aussi le siège de plusieurs villes sous Louis XV. Il est mort en 1752 à l'âge de 72 ans.

Habitants en 1935 : Stevens architecte au N° 14, Descheemaecker, docteur  au N° 22.

 

Corneille (rue) rue des Sarrazins, rue d'Iéna,

Ouverte en 1838 à Wazemmes, sous la désignation de rue coté droit du cimetière de Wazemmes. Dénommée le 8 Janvier 1839. le cimetière devint :  square d'Iéna,

puis place Verte, et enfin square Henri Ghesquière.

Corneille, Pierre, né à Rouen le 6 Juin 1606. Le plus grand de nos poètes tragiques, et l'un des pères de la comédie classique. Ses tragédies le Cid, de Cinna et de Polyeucte sont connues du monde entier. Reçu à l'Académie française en 1647, il mourut le 1er Octobre 1684, à l'âge de 78 ans.

 

Courmont (rue).- rue d'Arras. - rue de Thumesnil.

Ouverte sur l'emplacement de la Cour Courmont dite la Basse-Cour, de Moulins-Lille. Au moment de l'annexion de cette Commune à la Ville, la rue Courmont àvait une entrée de 12 mètres vers la rue de Thumesnil , et seulement de 7 m du côté de la place de Condé. Dès le 7 Mars 1837, M. Courmont père, fabricant de tissus, dont la famille a donné le nom à la rue  avait consenti à céder le terrain nécessaire pour l'ouvrir à 10 mètres, mais sous la réserve de ne démolir les constructions qui le couvraient qu'à l'époque où leur état de vétusté ne permettrait plus de les conserver. Ce ne fut qu'en 1869 qu'une transaction amiable intervint entre la Ville et M. Courmont pour la rectification de l'alignement à 12 mètres. Ce propriétaire consentit à démolir les maisons N° 151 rue d'Arras et 2 à 18 de la rue Courmont. Cette transaction fut approuvée par arrêté préfectoral en date du 10 Décembre 1869.

 

Croix (Parvis de) louis de Croix légua 28 00 florins « aux Bleuets », institution,  pour l'entretien de 12 orphelin (1660).

 

 l'église St Pierre St paul a été bâtie sur le parvis de Croix , inaugurée le 29 octobre 1857

 PUB GAMB-copie-3

 

 

 Delespaul (rue Barthélémy-) rue des Postes – rueSolférino

Indiquée au plan homologué le 24 Avril 1860, sous le N°92. Déclarée d'utilité publique le 2 Juillet 1864. Ouverte en 1865. Dénommée le 12 Février 1863.

Louis Barthélémy-Delespaul, filateur de lin, né à Lille le 14 Avril 1805, mort à Lomme, le 2 Octobre 1854. Cet honorable industriel a gratifié les Hospices d'une ferme située à Wormhout et d'une somme de 100 000 FR. à charge d'employer le revenu de cette ferme, ainsi que celui des 100 000 FR., à augmenter le plus possible le nombre des lits d'incurables à l'Hospice Général.

 

Delezenne (rue) rue d'Esquermes -Place de l'Arbonnoise.

Ancienne rue de la Mairie de la commune d'Esquermes, dont la dénomination fut changée le 31 août 1866, parce qu'il existait une rue portant le même nom dans le quartier de Wazemmes (aujourd'hui rue Charles Quint).

Delezenne, Charles, né à Lille le 14 Octobre 1776. Mort en cette ville le 20 août 1866. Savant distingué et professeur éminent de physique. Nommé en 1805 à la chaire de mathématiques du collège communal, il joignit à ces fonctions, en 1817, un cours public et gratuit de physique. En 1823, il fit créer une chaire de chimie appliquée aux arts. Il a publié de nombreux travaux, (recherches sur l’acoustique, la météorologie, l’électromagnétisme),  en particulier dans les mémoires de la Société des Sciences, à laquelle il appartenait depuis 1806.

 

Deschodt (rue) rue Notre-Dame (Gambetta) rue des Stations.

Ancienne Avenue ou Drève Deschodt, mitoyenne entre les communes d'Esquermes et de Wazemmes. Cédée par les propriétaires à chacune des deux communes riveraines, en novembre 1844, à charge d'entretien de la rue et du pavage. A cette époque, sa largeur a été fixée à 9 m. 50.

 

Digue (rue de la) rue du Blanc-Ballot -  rue d'Armentières,

Ancienne rue de la commune de Wazemmes, qui était longée, du côté de l'école de natation, par le canal de décharge du moulin de la Barre. Elle a été nivelée, pavée et mise en état de viabilité en 1871,

Ainsi nommée de la Digue, à cause de l’ouvrage avancé des anciennes fortifications, que le maréchal Vauban avait fait construire en 1699. Elle se trouvait sur l'emplacement de la rue Solférino et s'étendait de la porte de Béthune à celle de la Barre, Appelée aussi du Moulin de par l'établissement dans lequel est installée l'école de natation. (IESEG de nos jours).

 

 

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14 décembre 2012 5 14 /12 /décembre /2012 16:50

extrait de l'annuaire Bertrand et de B. Deroubaix

 

 

 

Colbrant (rue). - rue Henri-Holb. -Place Sébastopol.

Désignée sous le N° 99 au plan homologué le 24 Avril 1860. Déclarée d'utilité publique le 20 Juin 1868. Ouverte en 1873, pour relier le quartier populeux de la rue de Flandre, de la section de Wazemmes .avec l'ancienne ville. Dénommée le 1er juillet 1873.

Colbrant, Louis-Alexis .architecte, né au Sas-de-Gand (Belgique) le 7 Avril 1806, mort à Lille le 28 Décembre 1856.

Par testament du 26 du même mois il a légué à la ville de Lille ses immeubles, créances et actions évaluées 136,243 fr  pour former un fond de dotation sous le nom de « dotation Colbrant » destiné à l'allocation de bourses à des jeunes gens pauvres ou peu aisés demeurant à Lille, ayant des dispositions pour l'architecture ou de tout ce qui dépend de cet art et s'y rattache : la peinture ou la musique. 

 

Colmar (rue de). - rue des Postes. -Boulevard Vallon

Indiquée sous le N° 79 au plan homologué le 24 Avril 1860.

Déclarée d'utilité publique par décret du 20 Juin 1868. Non bâtie. Dénommée le 31 Octobre 1872.

Colmar, ville d'Alsace. Réunie en 1697 à la France par le traité de Ryswick. Cédée à l'Allemagne par le traité de Francfort le 18 Mai 1871.

Église Saint Benoit labre, école municipale Voltaire

 

Colson (rue). – rue Nationale. -Boulevard Vauban.

Prévue sous le N° 32 au plan homologué le 24 Avril 1860. Déclarée d'utilité publique par décret du 20 Juin 1868. Dénommée le 15 Octobre 1870. Ouverte en 1876.

Colson , général français, né à Saint-Arobin (Meuse) , le 3 janvier 1821. Tué le 6 Août 1870 à la bataille de Freschwiller, à laquelle il assistait en qualité de chef d'état-major général du corps d'armée du maréchal de Mac-Mahon.

Le général Colson avait été nommé le 10 Septembre 1869 au commandement de la subdivision du Nord. Il était allié à la famille Kuhlmann, l'une des plus honorables de Lille.

 

Condé (Place de). - rue d'Arras

Indiquée sous le N° XIX au plan homologué le 24 Avril 1860. Déclarée d'utilité publique par décret du 14 Août 1862, Ouverte en 1868 , à la bifurcation des rues Montaigne, Lamartine, de Condé et d'Arras, Dénommée le 31 Octobre 1872,

Condé, Chef-Iieu de canton situé à 51 kilomètres de Lille, et à deux lieues de Valenciennes, au confluent de l'Escaut et de la Hayne, Population 4.346 habitants.

Les Français prirent cette ville en 1676,

Le marché autrefois installé place de Trévise a été transféré place de Condé, le 4 Décembre 1872. De nos jours il est à nouveau place Déliot (ex Trévise).

 

Constantine (rue) rue Manuel rue des Postes.

Ouverte en 1838 sous la désignation de rue Camus, dans la commune de Wazemmes. Dénommée le 8 Janvier 1839.

Constantine : ville d'Algérie prise par l'armée française le 13 octobre 1837, sur les murailles de laquelle le drapeau de la Franc fut planté par le Maréchal Valée.

Cours en 1935 : Cité Cornille N°22, Cité Cornille N° 32,

 

Corbet (rue)  ouverte en 1844, dénommée le 4 juillet 1881.Sculpteur, membre de l'académie des Arts de Lille au XVIII° s

Cour Dubois au N° 13, Mahieu fils taxis au N°  8.  Usine Lorthiois, Houzé de l'Aulnoit, Duflos et Cie

 

 

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12 décembre 2012 3 12 /12 /décembre /2012 18:27

                                                                                                                    extrait de l'annuaire Bertrand et de B. Deroubaix (suite)

 

CIMETIÈRE de Wazemmes (le premier)


L'église et Le cimetière originel de Wazemmes étaient très vieux. Il pérennisait les hypogées mérovingiennes mises à jour par Mr. Rigaux.

Les excavations creusées en 1892 et en l90l pour construire l'établissement Crépin & François ont permit définir ses limites.

Il devait couvrir en partie la place Philippe de Girard, du gymnase communal où l'on a retrouvé des tombes ; il se déployait sous la rue Nationale et se prolongeait jusqu'à la rue du Port près de l'établissement Crépin.

C'est à cet endroit qu'on a retrouvé, surtout en l90l, une quantité de squelettes dans des cercueils, des monnaies de Philippe le Hardi, de Louis de Maële, de Charles-Quint et une jolie médaille de la grandeur d'une pièce de cinq francs représentant Adam et Eve. Cet endroit fut pendant quatorze siècles le colombaire de nos « taïons » (en vieux français, aïeuls).

Dans cette nécropole, au contour du calvaire, fut inhumé le 21 janvier 1782 Charles-Joseph Le Thierry, seigneur d'Ennequin, conseiller du Roi, son garde-marteau en la maîtrise des Eaux et Forêts du département de Lille, époux de noble Dame Marie-Anne-Françoise De Bonneval, domicilié à Lille, paroisse Saint-Pierre. Il était âgé de 96 ans ou environ.

Par suite du transfert des différents cimetières paroissiaux de Lille au cimetière commun de l'Est, les personnes aisées de la ville, mécontentes de cette mesure, se faisaient enterrer à Wazemmes, à Esquermes et à Fives.

Pendant le siège de Lille de 1708, les soldats qui assiégeaient cette ville envahirent le cimetière de Wazemmes, abattirent les arbres et s'en servirent pour se chauffer et en faire des logements militaires. On replanta de nouvelles futaies les années suivantes, principalement des tilleuls, des bois blancs, des « piquarts » et des saules.

De 1754 à 1759, ou planta cent ormes et tilleuls et quatre-vingt-quatre bois blancs 1. Ce cimetière servit aux inhumations jusqu'en 1830. p136 137.

 

Colbert, rue

… la nouvelle rue de jonction qui part en ligne droite de la rue Colbert au chemin du sabot ; belle rue si elle était bâtie, en attendant elle sert encore de promenade charmante coupée par 7 ou 8 petits et frais ruisseaux, et échancrée par un seul qui s'avance en forme d'angle, mais trop peu, car défendu sur ses bords que par  quelques brins d'herbe.

 

 

photo arbonn.

 

 

Colbert (rue) rue Notre-Dame. –Boulevard de Lorraine.

Formée de la rue Colbert de la commune de Wazemmes, et du prolongement de cette rue, ouverte en 1855 sous la désignation de rue de Jonction, puis de rue Notre-Dame, entre la rue de l'Ecluse (rue des Stations) et la route nationale N° 42 (rue de Dunkerque):

Les rues Colbert et Notre-Dame furent désignées le 24 juillet 1858 sous l'appellation commune de rue de Wazemmes. Elles ont reçu leur dénomination actuelle le 12 Février 1863.

Colbert, Jean -Baptiste, Ministre et Secrétaire d'Etat, contrôleur général des finances, surintendant des bâtiments, arts et manufactures de France, sous Louis XIV. Né à Paris le 31 Août 1619, Mort à Paris le 6 Septembre 1683. Il mît de l'ordre dans les finances en poursuivant les dilapidateurs, réforma les impôts et releva l'industrie française.

 

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11 décembre 2012 2 11 /12 /décembre /2012 16:24

 extrait de l'annuaire Bertrand et de B. Deroubaix

 

 

Charles-Quint (rue) rue Notre-Dame (Gambetta) rue des Stations.

Ancienne rue de la commune de Wazemmes où elle était appelée de la Mairie, parce qu'elle aboutissait à ce bâtiment communal qui se trouvait alors situé sur l'emplacement actuel du Gymnase, place Philippe-de-Girard. Dénommée le II Octobre 1867.

11-12-2012-1614-20.jpg

ancienne mairie du village de Wazemmes


Charles-Quint, empereur d'Allemagne et roi d'Espagne, comte de Flandre, né à Gand le 24 Février 1500. Après, avoir cédé ses Etats d'Allemagne à Ferdinand; son frère et avoir remis les autres à Philippe, son fils, le 26 Octobre 1555, à Bruxelles. Il se retira en Espagne dans le couvent de Saint-Just. Il y mourut, le 2 I Septembre 15 58, après avoir tenu l'empire trente-huit ans deux mois et vingt-quatre jours.

Charles-Quint céda à la Ville pour l'élargissement du rivage de la Basse Deûle le palais de la Salle bâti par Baudouin V au XI° s. (voir rue du Faisan et rue Comtesse), C'est lui également qui donna le règlement définitif de la Bourse commune des pauvres par un édit en date du 15 Octobre 153 I, confirmé par lettres patentes du 8 Juillet 1747. Cette institution est aujourd'hui remplacée par le Bureau de Bienfaisance.

 

Charmilles (rue des) à Wazemmes.

Se trouvait située vers le prolongement de la rue de Juliers. Elle a été incorporée dans le sol de la place de la Nouvelle-Aventure.

 

Châteaubriand (rue) rue de la Tranquillité rue de l'Ouest (Corbet).

Appelée le 2 Juin 1844 rue des Jardins, lors de son ouverture à la circulation, dans la commune de Wazemmes. Sa dénomination actuelle date du 24 Mars 1848.

Chateaubriand (François-Réné de), né près de Saint-Malo, le 4 Septembre 1768, mort à Paris le 4 Juillet 1848. Célèbre écrivain, auteur de l'Essai sur les révolutions, du Génie du Christianisme, de l'Itinéraire de Paris à Jérusalem, des martyrs, etc.

Chateaubriand (rue) cour delhaye.

 

Chaufour (rue du). – rue Notre dame N ° 265. - rue des Sarrazins N° 7

Ouverte sur un terrain dit la Carrière des Chaufours cédé à la ville de Wazemmes, le 24 Mai 1841 par M. François-Barthélémy Collette.

 

Chaufour-Lhermitte (rue du)- R. Notre- Dame. 321. -R. des Sarrazins, 75.

 rue particulière ouverte en 1869 sur le terrain d'une ancienne fabrique de chaux, qui était exploitée par M. Lhermitte , Alexandre, De là sa dénomination.

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10 décembre 2012 1 10 /12 /décembre /2012 09:16

 Catinat (Place). -Quai Vauban. - rue Colbert,

Ouverte en 1875 sous la désignation de place Charles de Muyssart, à cause de sa proximité avec la rue de ce nom. Tracée sur l'emplacement du canal Vauban, qui la traversait sur une longueur de 88 mètres avec une largeur moyenne de 8 à 10 mètres.

Un marché pour la vente des denrées et produits d'approvisionnement a été installé sur la place Catinat le 15 Juin 1877 .

Catinat (Nicolas de), maréchal de France sous Louis XIV. Né à Paris le 1er Novembre 1637, mort à l'âge de 74 ans, dans sa terre de Saint-Gratien où il s'était retiré, le 25 Février 1712. Il fut un des plus habiles généraux de Louis XIV. Entré au service en 1660 il fut d'il bord simple lieutenant de cavalerie. Sa belle conduite au siège de Lille, en 1667 le fit remarquer du roi. Vainqueur du duc de Savoie à la bataille de Staffarde le 18 Août 1690, il gagna encore le 4 Octobre 1693 sur cet habile général la bataille de La Marsaille.

 

peniche-deule.jpg

 

 

 Caulier (rue) (place Casquette), rue d'Esquermes - rue d'Haubourdin,

Ancienne rue de la commune d'Esquermes, dont la largeur était de 4m50. Ainsi dénommée de la filature construite en 1851 par M. Caulier-Rouselle, Henri-Xavier, sur l'emplacement de l'ancien pensionnat de M. Victor Derode. Elle est aujourd'hui occupée par une fabrique de tapis dont l'entrée est située rue d'Haubourdin.

La rue Caulier a été incorporée en 1864 dans le carrefour situé à la jonction des rues des Rogations et des Sarrazins pour former la place Casquette.

 

Caumartin (rue) rue Palikao (Brûle Maisons) rue Jean-Bart. (Rue des Postes – Barthélémy Delespaul)

Ouverte en 1866 à frais communs entre M. Farnèse-Favarcq et l'Administration des Hospices. Dénommée le 11 Octobre 1867.

Antoine-Louis-François Lefèvre, marquis de Saint-Ange, seigneur de Caumartin, intendant des provinces de Flandre et d'Artois, né le 27 Juillet 1725, succéda en Mars 1756 à Jean-Louis Moreau, seigneur de Beaumont. Il conserva cette charge jusqu'en 1778. Les intendants avaient été créés à la suite de la conquête française. Ils résidaient en dernier lieu rue Royale à l'hôtel de Stappens qui prit leur nom. M. de Caumartin empêcha la réunion à l'hôpital-général des biens de la Bourse commune des pauvres. 

1935 Schillio accordeur de pianos N° 3, Allemand architecte N° 11, Baudry tôlerie industrielle N° 15, Boitte ingénieur ICAM N° 61, Marasco ingénieur N° 65, Lufiacre propriétaire N° 85, Rezette papetier N° 91, Ets Quervel, huiles et graisses industrielles kervoline N° 16, Hirsch industriel N° 34, atelier tôlerie et chaudronnerie industrielle ATCI N° 40, Canler-Blondeel industriel.

1935 : cours: cité Crombet au n° 69, Frémeaux au n° 95.

 

Charles de Muyssart (rue).- rue Colbert. -Boulevard de Lorraine.

Indiquée sous le N° 42 au plan homologué le 24 Avril 1860. Ouverte par voie d'alignement en 1864. Dénommée le 12 Février 1863.

Par testament olographe en date du 12 Juin 1850. M. le comte Charles-Emmanuel-François de Muyssart, ex-officier de marine, fils d'un ancien maire de Lille, décédé le 22 avril 1856, légua au Bureau de bienfaisance les actions de la Banque de France et les rentes cinq pour cent dont il serait possesseur au jour de son décès. Cet acte de munificence mis à la disposition de l'Administration charitable, pour être employé dans l'espace de dix années, au soulagement des indigents, des valeurs qui, au cours de l'époque, représentaient un capital de plus de 250.000 Fr. 

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9 décembre 2012 7 09 /12 /décembre /2012 17:25

 

Caby (rue) rue des Meuniers rue Gantois. (Carpeaux)

rue particulière ouverte en 1862 par M. Caby, Auguste-François, entrepreneur, et dont la construction était presque achevée en 1864, époque à laquelle la Ville y fit placer des lanternes pour l'éclairage.

 

Calais (rue de) rue d'Armentières rue de Toul.

Ainsi dénommée le 13 Novembre 1876. Ancienne Allée de la Grappe de raisin de la commune de Wazemmes, qui existait déjà en 1720 et qui avait pris ce nom de l'enseigne d'un cabaret. L'entrée de cette allée vers le quai Vauban est couverte et l'étage dépend du cabaret.

La ville de Calais, qui a donné son nom au détroit séparant la France de l'Angleterre, est célèbre par le courage d'Eustache de Saint-Pierre, de Jean d'Aire, de Jacques et Pierre de Wissant, et de deux autres bourgeois dont les noms ne sont pas connus.

Edouard III, roi d'Angleterre, courroucé de la résistance que cette ville avait opposée pendant plus d'un an à ses armes, voulait en passer les habitants au fil de l'épée. Pressé par son entourage, il finit par se contenter de la remise de six bourgeois pris parmi les plus notables; ce sont ceux dont les noms précèdent. Leur dévouement héroïque avait sauvé la ville; ils furent sauvés à leur tour par la reine qui arracha à Edouard leur pardon.

Tombé au pouvoir des Anglais le 3 août 1347, Calais fut repris deux cent dix ans plus tard, le 8 Janvier 1558, par le duc de Guise, après un siège de huit jours. 

 

Cambrai (rue de) Boulevard d'Italie (Jean Baptiste Lebas) Porte de Valenciennes. (Guy de Dampierre)

Indiquée sous le n° 92 au plan homologué le 24 avril 1860. Déclarée d'utilité publique le 2 juillet 1864. Ouverte en 1865. Dénommée le 11 octobre 1867.

Cambrai, ville très ancienne, citée dans les itinéraires romains, capitale du Cambrésis, chef-lieu d'arrondissement du département du Nord, située sur l'Escaut, à 59 kilomètres de Lille, siège d'un archevêché qui fut illustré par Fénelon. Louis XIV assiégea Cambrai qui était occupé par les Espagnols et s'en rendit maître le 18 avril 1677. Cette ville fut réunie définitivement à la France par le traité de Nimègue (17 septembre 1678).

C'est à Cambrai que fut signé le 3 août 1529, la paix de Cambrai ou paix des Dames, par laquelle la France abandonnait outre ses possessions italiennes, la Flandre, l'Artois et le Charolais.

 

Carvin (rue de). –Place d'Arras. – rue de Condé.

Indiquée sous le N° 72 au plan homologué le 24 Avril 1860. Déclarée d'utilité publique, le 14 Août 1862. Ouverte en 1872. Dénommée le 31 Octobre de la même année. Carvin , chef-lieu de canton de l'arrondissement de Béthune (Pas-de-Calais)

 

Casquette (place), p7 VR de Lille

Cette place à l'angle des rues Sarrasin et Notre-Dame, doit son nom à un ancien fabricant de casquettes disparu depuis la mode étant passée et "la fabrication délocalisée".

 

 

 

place-casquette-ancien.jpg

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8 décembre 2012 6 08 /12 /décembre /2012 09:35

                                                                                          d'après "les rues de Bertrand", et B. Deroubaix

 

Bourignon (rue)  rue de Wazemmes, rue Stappaert

Ouverte en 1864 par l'Administration des Hospices. Dénommée le 31 Octobre 1867.

Bourignon, Antoinette, ou Borgnon, auteur de plusieurs ouvrages philosophiques, née à Lille sur la paroisse Saint-Maurice, le 14 Mai 1616. Morte à Francker, dans la Frise, en 1680.

Première Directrice de l'Hospice de Stappaert, en 1658. Elle tripla le revenu de cet hospice en lui donnant, le 3 Juillet 1670 et le 27 Septembre 1679 tous ses biens composés de vingt-une maisons, de terres et de rentes, produisant à cette époque un revenu annuel de 1 410 florins.

Cour Crombet au n° 45. - Hordoir ingénieur (atelier), Boulant, sage femme; Ets Tricart moteurs électriques au n° 38 b - Belval forgeron  au n° 46

 

Brasserie (rue de la).(Chevreul, Meuniers St Hilaire??) -rue de Wazemmes rue Barthélémy-Delespaul

Créée en 1862 sur son terrain par M. Louis Faure, propriétaire, demeurant à Lille, rue des Postes, N° 88, qui lui donna cette dénomination à cause de la brasserie située aux N° 1 et 3 à cette époque.  

 

Brigode (rue de)

Ouverte et pavée par M. le baron de Tintignies, qui en a abandonné le sol à la Ville. Elle été admise dans le réseau des voies publiques, et dénommée le 29 Juin 1865. Appelée de Brigode en souvenir de la donation de 6.000 florins faite aux pauvres de Lille par Arnould-Joseph De Brigode, seigneur du Quesnoy, Canteleu, etc ; administrateur de la Charité générale, chef proviseur de l'hospice de Stappaert, décédé le 18 Novembre 1775.

La famille des comtes de Brigode est très ancienne dans le pays. Un de ses membres a été tué pendant la guerre de 1870 à la tête de la gade mobile du Nord. La rue qui porte son nom traverse une partie des terres d'une ancienne ferme qui appartenait à cette noble famille et qui est devenue la propriété des Hospices de Lille, à la suite d'un échange qui remonte à plus de 80 ans

 

Brûle Maison (rue) anciennement rue Palikao (ville de Chine), surnom de François de Cottignies (1678-1740), chansonnier, auteur de nombreuses chansons en patois de Lille. On dit que son sobriquet vient de ce que, chantant dans les rues, il avait l'habitude pour attirer la foule, de mettre le feu à des petites maisons en papier de sa fabrication..

 Sur son épitaphe on pouvait lire "Cy git faiseur de chansons qu'on appelait Brule-Maisons mort à 62 ans d'âge faulte de vivre davantage."

1935 : existaient : Usine de l'Alma N° 3, Dujardin industriel N° 9, Voulu ingénieur N° 9, Dubray ingénieur N° 15; Devos constructeur N° 25 ; laiteries modernes N° 39 ; Devauze ingénieur; école régionale d'herboristerie ; école Nationale d'orthopédie et d'Optique du Nord N° 91; Risbourg ingénieur; Liénard négociant; Baly ingénieur N° 50; Verlinde ingénieur N° 54; Defaux docteur N° 56; Porez docteur N° 68; Mme Vve P. Rouzé-Steverlynck N° 84; Mme Vve A. Van Peteghem-Rouzé  N° 84; P. Rouzé-Van Peteghem entrepreneur N° 86 ; Missions dominicaines N° 96 ; Direction régionale du rosaire N° 96 ; Leroy Docteur N° 98; Hallez ingénieur.

Il existait une rue Charles Decottignies entre la rue de Paris au niveau du N° 265 et la rue Godefroy au niveau du N° 3.

 

 

07-12-2012-1745-10.jpg

 

Buffon (rue). rue de Douai. –Boulevard d'Alsace.

Ancien sentier de la commune de Moulins-Lille, conduisant de la rue de Douai à la rue des Canonniers (aujourd'hui rue Fontenoy). Prolongée de cette dernière rue à la rue de Thumesnil sur 10 m de largeur, suivant décision du Conseil municipal de Moulins-Lille, en date du 10 Août 1851.

La rue Buffon a été pavée en 1855.

 

Caby (rue) rue des Meuniers rue Gantois. (Carpeaux)

rue particulière ouverte en 1862 par M. Caby, Auguste-François, entrepreneur, et dont la construction était presque achevée en 1864, époque à laquelle la Ville y fit placer des lanternes pour l'éclairage.

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7 décembre 2012 5 07 /12 /décembre /2012 09:35

                                                 extrait de l'annuaire des rues de Bertrand et des archives de B. Deroubaix

 


Bas-Jardin (rue du). rue de Wazemmes Boulevard Vallon. (Victor Hugo)

Formée de l'ancien chemin du Bas-Jardin de la commune de Moulins-Lille, lequel partait des glacis de l'ancienne porte de Paris et aboutissait à la rue des Champs (actuellement rue de Wazemmes) .

Son élargissement immédiat à dix mètres et sa mise en état de viabilité ont été résolus par délibération du Conseil municipal en date du 10 Août 1878.

 

Bayard (rue). Boulevard d'Alsace (Strasbourg) Boulevard Vallon (Victor Hugo).

Indiquée sous le N°78, au plan homologué: le 24 Avril 1860. Déclarée d'utilité publique par décret du 12 Juillet 1859. Ouverte en 1860 Dénommée le 31 Octobre 1872.

Bayard dit le Chevalier sans peur et sans reproche. Né, en 1476, au château de Bayard, près de Grenoble. Mort, le 15 Avril 1524, d'une blessure qu'il reçut à Romagnano (Milanais), en couvrant la retraite de son armée poursuivie par les Espagnols.

 

Beaucourt-Decourchelle (rue) rue Pierre Martel -rue au Sabot. (Roland)

Ouverte en 1864 comme la rue Adolphe, par les héritiers de M. Beaucourt, Séraphin-André Joseph.

L'un de ces héritiers, son fils, M. Beaucourt, Victor-Alphonse-Florimond, né à Douai (Nord), décédé à Lille, à l'âge de quarante-trois ans, le 8 Octobre 1871, à légué, par testament olographe du 7 Juin 1867, tous ses biens meubles et immeubles aux Sociétés de Secours Mutuels du lieu de son domicile, sauf prélèvement d'une somme de 6 000 francs pour être également donnée à la commune de son domicile, à charge par cette dernière de décerner, chaque année, à l'élève le plus méritant de l'école communale, une médaille d'or d'une valeur de 200 francs.

Un décret en date du 31 Mai 1876 autorisé les Sociétés de Secours Mutuels de Lille ainsi que cette ville à accepter les legs de M Victor Beaucourt-Decourchelle bienfaiteur de la ville, fait à Lille le 15 oct. 1874.

Cours 1935 : Sainte Agnès, Notre Dame.

 

Blanc-Ballot (rue du) Boucher de Perthes square rameau – rue Puébla

Ouverte en 1849 sous cette désignation, sur une portion de l'ancien Chemin de la Digue, qui partait des glacis de la porte de Béthune et aboutissait à la Fontaine Del Saulx.  Le Blanc ballot est une cheminée d’où sort une fumée blanche.

 

Blanchisseurs (rue des) rue Frankin - rue des Stations. - rue Sainte-Barbe.

Ancienne allée des Blanchisseuses (poire d'or ?) de la commune de Wazemmes. Ainsi dénommée le 31 Octobre 1872, des blanchisseries de linge qui y sont établies.

 

Bône (rue de) rue de Flandre-rue Manuel.

Ouverte en 1838 dans la commune de Wazemmes Dénommée le 8 Janvier 1839.

Bône. ville d'Algérie .occupée par les Français depuis 1832 .

Cours: Dutilleul 6 b, Cité Rousseau 9, Cité Rousseau13,

 

Bonte-Pollet (rue) rue des Fleurs. – rue des Canonnier, disparue

Aujourd'hui Vergniaud/ Bd de la Moselle

Ancienne rue du Maire ouverte, suivant décision du Corps municipal en date du 3 Avril 1790, sur l'emplacement du couvent des Annonciades, fondé en 1642 rue des Jardins, et qui fut fermé en 1784. Elle fut d'abord désignée sous le nom de prolongement de la rue droite des Fleurs jusqu'à celle des Vieux-Hommes (Canonniers). -Dénommée le 22 Octobre 1879.

 

Boulogne (rue de) rue Colbert rue du Port.

Indiquée sous le N° 44 au plan homologué le 24 Avril 1860. Ouverte par voie d'alignement en 1865. Dénommée le 13 Novembre 1876.

Boulogne, port de mer, dans le détroit du Pas-de-Calais, Chef-lieu de sous-préfecture de ce département, à 272 kilomètres de Paris. C’était déjà un port très important à l'époque romaine. Une des quatre grandes routes créées au 1er siècle à travers la Gaule, par Agrippa, gendre de l'empereur Auguste, y aboutissait. 1935 : Filature de coton Crépy au n° 7, entrepôt de la Cie de Vichy  au n° 18.

 Crepy-photo.JPG

 

Filatures Crépy, de nos jours des appartements

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6 décembre 2012 4 06 /12 /décembre /2012 09:13

 

Austerlitz (rue d'). – rue des Sarrazins,- rue Marchand. (Bailleul)

Ouverte sous sa dénomination actuelle par des particuliers, qui en ont abandonné le sol à la commune de Wazemmes, le 29 Septembre 1846,

Austerlitz, ville des Etats autrichiens en Moravie. Rappelle l'éclatante victoire que Napoléon 1er y remporta, le 2 Décembre 1805, sur les armées réunies de l'Autriche et de la Prusse.

La rue d'Austerlitz, telle qu'elle avait été reconnue au plan des voies publiques des nouveaux quartiers de la ville agrandie, prenait naissance à la rue des Sarrazins et s'arrêtait à la rue d'Iéna. Elle a été prolongée par l'initiative privée, sur une longueur de 265 mètres jusqu'à la rue de Bailleul actuellement

Ce prolongement a été admis dans le réseau des voies publiques le 18 Avril 1862,

1935: MAENE vieux matériaux  n°17, Van Hecke chiffons n° 44 et  97,

cours : Delannoy n° 46, haccart n° 62, cité Rubens N°  62. - impasse Saint Paul.

 

Bailleul (rue de) rue de Juliers (Jules Guesde -rue des Rogations (Paul Lafargue)

Ancienne rue Saint-Joseph, de la commune de Wazemmes. Dénommée le 11 octobre 1867.

 1935 :  cours : Mariage, Pottier, Pau, Saint Joseph, Raquet, cité Donze

Ecole Communale de fille 28, Haeck : marchand de Sabots n° 8

 

Bapaume (rue de). Boulevard Vallon (Victor Hugo) – Place d'Arras Jacques Febvrier

Indiquée Sous le N°75 au plan homologué le 24 avril 1860.

Déclarée d'utilité publique par décret du 20 Juin 1868. Ouverte en 1869.

Dénommée le 31 Octobre 1872 en souvenir de la victoire du général Faidherbe sur les prussiens en 1871 près de Bapaume.

 

 VANDYCK.JPG

 

Ambiance dans les cafés de Wazemmes dans les années 1925

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5 décembre 2012 3 05 /12 /décembre /2012 09:29

 

Arcole (rue d') rue Corneille Boulevard montebello.

Un arrêté préfectoral du 23 Juillet 1838 autorisa les sieurs Levas Eugène, Merlin Louis-Joseph et Consors à élever des constructions dans cette rue, qui se trouvait située dans un rayon de 100 mètres du cimetière de Wazemmes (aujourd'hui squareHenri Ghesquière).

Appelée dans le principe rue Transversale, terrain Gilquin.

Dénommée le 8 Janvier 1839.

Arcole, ville d'Italie,bourgade située non loin de Vérone. Célèbre par la victoire remportée le 17 Novembre 1796, par le général Bonaparte sur les autrichiens commandés par Wursmser.

1935 Epicerie aux Dock du Nord n° 33, J. et L.Tanguy-A Gourlet et compagnie filateurs de jute n° 66-68

1953 Sté d'exploitation de la malterie de la maison BINAULD (Sarl) n° 11b

Mme vve Binauld–Desmazières, X binauld – Ch Binauld gérant de la malterie – Binauld–Fournier X médecin 2 ° étage

Cours : SaintMichel n° 41, Barat-Wilmot n°  47, Popyn, Penot n° 52 - cité Lambert n°29.

 

03-12-2012-1738-06.jpg

La Brasserie Binauld était située rue d'Arcole

 

Armentières (rue d') Quai de la Haute-Deûle. (Architecte cordonnier) -Quai Vauban (Av léon Jouhaux).

Partie de l'ancienne route Nationale N°42, de Lille à Boulogne, déclassée en 1865 (Voir quai Vauban). Dénommée le 31 Octobre 1872.

Armentières chef-lieu de canton, à 16 kilomètres de Lille, sur la Lys.. Définitivement réunie à la France par le traité d'Aix-la-Chapelle, le 2 Mai 1668 Une des plus anciennes villes de la Châtellenie de Lille, citée en 866 dans un diplôme de Charles-le-Chauve ; a possédé jusqu'au XVI° s. d'importantes manufactures de draps. Le commerce de toile qui y existait conjointement, a seul subsisté et a pris des proportions si considérables qu'il a fait d'Armentières une ville manufacturière des plus florissantes.

1935 : création d’une  école de natation au n° 27, aujourd'hui IESEG

 

Arras (Place d') (Jacques Febvrier) -Porte d'Arras rue d'Artois.

Indiquée au plan homologué le 24 Avril 1860, sous le N° XV. Déclarée d'utilité publique par décret du 12 Juillet 1859. Ouverte en 1860 -Dénommée le 23 Décembre 1865.

Arras, capitale des Atrébates, puis de la province d'Artois, était déjà célèbre par son commerce à l'époque romaine. On y fabriquait au moyen âge de splendides tapisseries.

 Actuellement place de guerre et chef-lieu du département du Pas-de-Calais, sur la Scarpe, à 193 kilomètres de Paris. Réunie définitivement à la France en 1659.

 

Arras (rue d'). –Boulevard d'Italie (J.B Lebas) Boulevard d'Alsace,

Partie de la route Nationale N°17, de Paris à Lille et à Menin, autrefois appelée rue du faubourg des Malades et route d'Arras.

 

Artois (rue d') Parvis St -Michel-Place d'Arras (jacques Fébvrier)

Partie de la rue Nicolas Leblanc, ainsi dénommée le 31 Octobre 1872 (Voir Nicolas-Leblanc).

La province d'Artois, qui forme aujourd'hui la plus grande partie du département du Pas-de-Calais, avait pour chef-lieu Arras,

L'Artois fut réuni définitivement à la France sous Louis XIV, le 17 Septembre 1678, par le traité de Nimègue.

En 1935 : externat Saint joseph n° 117, union lilloise d'alimentation n°147, accumulateur Arnold, Ets Gusse-Reyniers : confection en gros n° 22, station essence "Gex"n° 68, De Pelsemaecker architecte n°110, Dufaux frères épiciers -  Dallenne : Capitaine du Génie en retraite n°156.

 

Auber (rue) rue Nationale. -Boulevard Vauban. - rue Pierre Martel (Roland)

Désignée au plan homologué le 24 Avril 1860 sous le N°52. Déclarée d'utilité publique par décret du 20 Juin 1868. - Dénommée le 21 Novembre 1876.

Auber, Daniel-François-Esprit. Célèbre compositeur français, né le 27 Janvier 1782 à Caen. Mort Directeur du Conservatoire national de musique le 12 Mai 1871, à Paris. Auteur d'un grand nombre de partitions. Il doit l'un de ses plus grands succès à la Muette de Portici (29 Janvier 1828) opéra dans lequel se trouve le fameux duo "Amour sacré de la Patrie"

1935 : cour Combaux

Bauchat industriel directeur du Nord, H. Jooris directeur de la grande Brasserie Auber

 

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